La solitude. Toujours. Encore. Ce sentiment qui ne semble pas te déranger, selon tout ceux qui te regarde puisque tu sembles plutôt indépendant dans ta démarche, mais tu caches bien ton jeu. Ce sentiment qui pour certains est plutôt agréable, mais qui pour toi est une émotion terrible que tu essaies à tout prix d'évité.

'' Ah merde! Encore une autre journée.'' Pensas-tu avant de te lever du lit d'un parfait inconnu. Tu le trouvais mignon, mais tu devais rentrer chez toi. Tu te levas tranquillement, te rhabillant au passage et claquant la porte. Tu reconnaissais où tu étais heureusement car ça t'étais déjà arrivé d'être en dehors de la ville et donc, ne pas reconnaître les lieux. Tout allait bien, tu te dirigeas tranquillement vers chez toi puisqu'il était relativement tôt et que seul les travailleurs était ici. Tu te promenais au centre-ville, la musique rock dans tes oreilles qui te coupait à la fois du monde extérieur qu'à ta solitude. Tu aimais la musique pour cela, mais ce truc ne marchait pas toujours. Tu regardas les voiture de riche passé et un sentiment de dégoût te parviens, te rappelant de ta vie d'avant. Si ton père aurait appris que tu étais homosexuel, tu crois bien qu'il t'aurait renié, ou tuer à force de te frapper.

On allait vraiment te considérer comme une prostitué si tu continuais de coucher avec tout les gais, ou bis ou tenteur de nouvelles expériences. Tu soupiras et allas dans un petit café pas très loin qui ouvrait vers le six heures du matins, c'était plaisant et tu passais environ une heure là-bas à boire un café, écrire et manger des pâtisseries. Qu'allais-tu faire de ta journée?

Voilà, un troisième poèmes écrit à la main car non, tu ne partais de chez toi sans une plume et des papiers. La musique te donnait de l'inspiration et te calmait un peu de ta frustration habituelle.