Nucléaire Symphony



 
Le Deal du moment :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur ...
Voir le deal
600 €

Partagez
C'mon lets Rock !
Kuze Kiefer
Kuze Kiefer
MessageSujet: C'mon lets Rock ! C'mon lets Rock ! Icon_minitimeVen 27 Sep - 14:49

Feuille de personnage
Sexualité:
Métier : Barmans
Citation: Il ya mille raisons POURQUOI JE NE DEVRAIS PAS PASSER MON TEMPS AVEC VOUS















Kuze Kiefer


Il ya mille raisons

■NOM ET PRÉNOM: Kuze Kiefer.
■AGE: 19 ans.
■Sexe:Homme.
■Tilt sexuelle: Hétéro.
■Group: Habitant.
■Métier: Barmans.




Personnalité

Quelqu'un de froid et de totalement renfermé sur lui-même. Première chose à savoir : Kuze est toujours seul, de son plein gré. Le relationnel ce n'est pas sa tasse de thé, même lorsqu'il cherche à se lier à quelqu'un d'une quelconque façon. Socialement, il est maladroit et très « coincé » dirais-je. Quand un individu lui montre de un certain attachement, de l'amitié voire même de l'amour... il se bloque totalement, comme si un programme empêchait ce virus appelée « affection » d'atteindre son cœur de pierre. Quoi qu'il en soit, mesdemoiselles, si vous vous êtes mis en tête de séduire ce jeun garçon de glace, mon meilleur conseil serait d'abandonner immédiatement, pour ne pas finir amèrement déçue de vous-même, ou pire, le cœur brisé. En fait, d'un point de vue extérieur (vous, moi, les autres) Kuze  passe pour un véritable cœur de glace insensible à l'extériorisation de toutes les émotions positives existantes. La joie, le bonheur, le plaisir, l'amour... C'est à peine s'il connait vraiment ce que ces émotions procurent. Et, d'un point de vue interne (c'est-à-dire, Kuze lui-même) ... c'est exactement la même chose. Il n'aime rien, ne fait rien, n'espère rien des autres et de leurs jolis petits sentiments inutiles. Lorsqu'il cherche à blesser quelqu'un, sentimentalement parlant le plus souvent, il le fait à merveille. Une vraie machine à rembarrer autrui. Et croyez le ou non, vous pourrez lui jeter n'importe quel regard attristé, être au bord des larmes, pleurer, hurler... Il n'en aura strictement rien à faire. Il n'a aucune idée de ce qu'est l'empathie, et ne la pratique jamais, avec personne. En fait, pour résumer Kuze en deux mots... c'est un "salaud fini".

Les autres voient Kuze comme quelqu'un qu'il ne faut tout simplement pas importuner, ni approcher. Un râleur qui va droit au but. Si quelque chose ne lui plait pas, il le montre. Il se trouve même que ce vampire ne supporte pas être touché, par quiconque - est-ce si surprenant, après avoir lu tout ça, franchement ? Ce n'est pas qu'il considère que sa personne est d'essence divine et que d'être touché par quelqu'un d'autre le souillerait... Non. C'est psychologique. Quand un individu touche Kuze de son plein gré sans son réel accord... il s'énerve. Gare à vous.



Apparence

Kuze est l'exemple parfait du grand brun ténébreux. Il a toujours eut ce charisme, cette classe naturelle qui fait de lui quelqu'un d’esthétiquement populaire. Et on a beau dire à cet éphèbe Ô combien il ne laisse pas indifférent, lui, de ses yeux noire sévères, n'y voit qu'une certaine superficialité, ennuyeuse par-dessus tout. Oui, c'est cela. Il se trouve physiquement ennuyeux. Beau, mais trop banal. Une beauté qui se retrouve facilement sur quelqu'un d'autre, en somme. C'est cela, d'être modeste, et c'est bien une chose qu'on lui reproche souvent : « Que ta modestie est agaçante ! » Pour se faire une brève idée de la personne qu'est Kuze, il faut en premier lieu préciser qu'il est grand. Un mètre quatre-vingt pour soixante kilos et des poussières. Comme quoi, il ne s'encombre pas de kilos disgracieux et gênants en plus. Finement musclé, malgré son apparence svelte il n'est pas pour autant un tas d'os fébrile. Des cheveux très long lui tombons jusque aux rein, noirs, coiffés sans vraiment l'être, des yeux noire nuit impassibles et une expression constamment sévère sur le visage. Les brefs sourires qui illuminent ses traits sont de vrais raretés et pour ce faire il faut être très apprécier de ce jeune vampire...Son style vestimentaire est très sobre. Il n'est jamais vêtu gaiement ou en couleur. Il n'y a aucun motifs fantaisistes sur ses tee-shirts, aucune chaîne pendante à ses pantalons pour lui donner un air « cool ». C'est ainsi que ça lui plait.  En dehors, et bien...
sobre. Toujours. Quant aux divers « accessoires » qu'il porte, il y a, sur son bras droite et son torse des tatouage . C'est, d'après lui « une erreur de jeunesse ». Une prétendue erreur qu'il aurait fait à ses 20 ans, dans sa première vie. Et c'est en souvenir de celle-ci qu'il ne se fait pas retirer ces tatouages. Le corps de Kuze est très marqué à certains endroits. Ayant combattu et périt pendant la Seconde Guerre mondiale pour l`empire du japon, son corps a gardé les quelques séquelles de ses entrainements et combats. Des faiblesses musculaires, certes, mais surtout des cicatrices. Sur le torse, les jambes, le dos, les épaules. Les plus visibles demeurent cependant être celles de son torse. Ne vous attendez donc pas à une peau totalement lisse et belle, tout le monde à ses imperfections les plus marquantes. D'ailleurs, il n'osera jamais vraiment l'avouer, mais, il a réellement honte de ses cicatrices. Surtout lorsque celles-ci sont porteuses de mauvais souvenirs...




Aime

■ Text here.
■ Text here.
■ Text here.
■ Text here.



N'AIME PAS

■ Text here.
■ Text here.
■Text here.
■Text here.



Histoire

Je suis né une nuit chaude d'un trois septembre au pays du soleil levant, oui, le japon. Mais dès mon plus jeune âge, je ne fût pas chanceux. Pas du tout, même. Mes parents, endettés et n'aimant pas les enfants, m'avaient fait par erreur. Dès qu'ils le purent, ils m'abandonnèrent, dans la rue, alors que je n'avais que quelques jours à peine. Imaginez vous, un petit gamin, bébé, de quelques jours, encore dans son drap, hurlant à s'en déchirer les poumons ; et tout ça, dans la rue. Ça faisait pitié, je faisait pitié. Un couple m’emmena chez eux. J'y avais vécu jusqu'à mes cinq ans, et jusque là, tout allait à peu près bien. J'avais su pourquoi ils m'avaient emmenés ; la femme, ma "mère" en quelques sortes, ne pouvait pas avoir d'enfants, la vie avait été dure avec cette pauvre femme. Je vivais donc tranquillement, chez mes "parents" adoptifs, qui me nourrissaient, me logeaient,, et qui me donnaient le nécessaire pour vivre. Mais à cinq ans, me direz vous, c'est à cet âge là que l'enfant change, n'est-ce pas ? C'est dès mes cinq ans que ma nature d'emmerdeur de première se révéla : les blagues, plus pourries les une que les autres, s’enchaînaient à la maison. Les rideaux décrochés placés dans le frigo, des fausses lettres dans la boîte aux lettres, avec des dessins pas fameux dedans. Le pire, je crois que ça restait quand même mes questions. J'étais encore innocent à cet âge là. Innocent, gentil, qui cherche à découvrir le secret de la vie.Je crois que cela n'as pas plût à mon paternel adoptif.Ils me renvoyèrent à mes six ans, je vous épargne les détails du pourquoi du comment.

Je me retrouvais, à six ans maintenant, à la rue, comme un clébard abandonné. Des couples m'emennaient, des couples de tous genre. Les parents-poule, ceux qui gobent tout ce qu'on leur dis, et même certains qui me battaient. J'ai encore une petite cicatrice dans mon dos, je n’oublierai jamais ces bouffons, et je leur ferai payer, un jour ou l'autre, ça j'en suis sûr et certain.C'est après dix ans et plus de cinquantes familles différentes qui m'ont hébergé, que je décide de ne plus chercher de foyer commun. De toutes façons, un ado de seize ans qui glande vingt quartes heures sur vingt quartes, ça n'attire personne, personne je vous dis.J'ai vécu pendant longtemps dans la rue, en essayant de survivre, par tous les moyens. Et il m'arrivait régulièrement de voir, de parler et même parfois de toucher, des créatures étranges. Des sortes d'humains, dotés d'oreilles de chats, de pattes et même de queues. C'était tellement... Mignon ? Je n'aimais pas ces choses. Mais leur physique m'attirait, c'était plus fort que moi. Les faire pleurer, souffrir, ou parfois sourire. C'était une sensation divine que je ressentais là.Quelques années passèrent ; j'arrivais à trouver des petits boulots, et ça me permettait de pouvoir me payer un appartement, pas vraiment grand, mais c'était déjà ça. J’enchaînais les boulots que je pouvais, même si je me faisais régulièrement virer. J'étais même forcé d'en avoir deux en même temps pour garder mon logement et pour pouvoir me nourrir. Ces temps là étaient dûrs, mais je faisait comme je pouvais, que voulez vous que j'vous dise.Maintenant, Je pense avoir trouvé un boulot stable ; je suis barman dans le quartier. J'ai pas mal de connaissances là bas, et parfois, on m'offre même des "choses" pour me divertir. Je vous laisse imaginer le genre de choses.. Ehe. J'ai un appartement dans le quartier. Je vis bien, je mange bien, je m'amuse même parfois. Mais je suis sûr que je réussirai à trouver des gens, ou des choses, bien plus intéressantes que ma position actuelle..



D'où tu viens comme ça:

■ PRENOM/SURNOM :TEXTE
■ Comment as-tu trouvé le forum ? :TEXTE
■ Et comment tu le trouves, maintenant ? :TEXTE
■ tu t'entends bien avec Bob l'éponge ?:TEXTE
■ Quelque chose à dire ?:TEXTE



々provient:

Mes images provient de l'artiste"Kyoux" Original Kyoux.



Il ya mille raisons POURQUOI JE NE DEVRAIS PAS PASSER MON TEMPS AVEC VOUS
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: Young, Wild & Free  :: FICHE DE PRESENTATIONS :: Fiche validé-